Aujourd’hui, direction la plage !

A priori, quel bonheur de profiter de la mer et d’observer les poissons autour de nous… Mais une fois sur place, le constat est tout autre : difficile d’ignorer la quantité de plastique à usage unique qui nous entoure.

Par curiosité, je suis allé consulter quelques chiffres et je trouve que :
📌 L’équivalent d’un camion poubelle de plastique est déversé dans l’océan chaque minute dans le monde (ONU).
📌 Si nous ne réduisons pas notre consommation de plastique, en 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans l’océan (Institut Ellen MacArthur).
📌 460 millions de tonnes de plastique sont produites chaque année (OCDE), dont 79 % finissent dans des décharges ou dans la nature, terminant souvent leur course dans nos océans (National Geographic).

🔜 En août 2025, la deuxième partie du Comité de négociation intergouvernemental se tiendra pour traiter et réduire la pollution plastique, y compris dans le milieu marin. Déjà plus de 280 entreprises et institutions financières, parmi lesquelles de grands groupes de biens de consommation, ont rejoint la Business Coalition for a Global Plastics Treaty pour réclamer un traité ambitieux et réaliste.

En complément, en France, la loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire) fixe l’objectif de la suppression de tous les emballages en plastique à usage unique d’ici 2040.

 

💡 C’est pourquoi nous vous invitons à repenser vos modèles économiques autour de l’économie circulaire et à engager une réflexion sur l’utilisation du plastique dans votre entreprise. Nous sommes convaincus que chaque organisation a un rôle clé à jouer. Ce serait dommage que, dans quelques années, nous plages ne soient plus un endroit agréable pour profiter de nos vacances en famille !

👉 Et vous, qu’en pensez-vous ? Et si nous agissons ensemble ?

 

📢 Bon à savoir :
La Région Occitanie a lancé une appel à projets pour accompagner les transitions et les métiers de demain, avec une prise en charge des coûts pédagogiques pour les formations. Les projets liés à la stratégie environnementale des entreprises sont éligibles. N’hésitez pas à vous renseigner sur notre Form’action Supply Chain Durable

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1. Choisir la bonne escale: pourquoi changer de cap? 

Le “Pourquoi?” partagé : quelle promesse faitesvous au marché et aux équipes? 

Les récifs identifiés : goulots, volatilité, empreinte carbone, exigences clients. 

La météo économique : disposeton d’une fenêtre (≠ tempête) pour transformer? 

💡Astuce deckchair – Testez votre pitch sur un collègue en trente secondes. S’il ne voit pas le cap et l’arrivée, affinez la carte. 

 

2. Plan d’embarquement: billets lisibles & équipage motivé 

2.1 Billets lisibles 

Vision dessinée — storytelling + croquis. 

Trois KPI de succès maximum — pas un de plus, sinon mal de mer garanti. 

Rôles & limites — qui tient la barre, qui scrute l’horizon, qui s’occupe des cabines. 

2.2 Équipage motivé 

Sponsors — la voix du capitaine (Comex). 

Quartermasters — managers opérationnels qui traduisent la carte en actions quotidiennes. 

Matelotsexperts — ceux qui connaissent la cale (IT, data, appro…). 

Passagers VIP — clients internes/externes impliqués tôt pour évangéliser. 

Protip – Un sponsor silencieux, c’est un quart de passagers en moins. Faitesle parler : vidéo selfie, Q&A live, blagues incluses. 

 

3. La passerelle reste ouverte: rituels qui évitent les hommes à la mer 

Standup 15’ chaque matin — état du navire, alertes, météo. 

Obeya ou salle de guerre — carte géante, backlog, indicateurs verts/oranges/rouges. 

Démos “escale” toutes les trois semaines — montrez le buffet avant de le servir; rien de tel pour attirer les curieux. 

🎧Playlist cabine – Pour célébrer une réussite, balancez un morceau choisi par l’équipe gagnante. En mer, la musique fait oublier le roulis. 

4.  Escales intermédiaires: quick wins & souvenirs photo

Process simplifié livré en S+3 — +10 % de productivité. 

Bot d’achat automatique M+2 — trente minutes gagnées par acheteur et par jour. 

Tableau CO₂ dynamique M+4 — décision fournisseur en live. 

Chaque escale devient une photo souvenir sur l’intranet, accompagnée d’une anecdote décalée («le jour où l’IA a commandé 50kg de café»). 

5. Le journal de bord: données et émotions

Tableau “feux de nav’” — vert = on avance, orange = retard, rouge = on récupère le passager manquant. 

Baromètre d’humeur trimestriel — trois questions anonymes: énergie, clarté, soutien. 

Feedback 360° à chaud — QRcode à scanner après chaque atelier. 

🌊Rappel – Le paquebot n’avance pas grâce aux slides, mais grâce à l’énergie des gens qui les commentent. 

 

6. Retour à quai ou extension de croisière?

Aton tenu la promesse d’origine? 

Le navire estil prêt pour une traversée suivante? (IA, décarbonation, circularité…) 

Si la réponse est oui: cocktail au pont! 

Sinon: planifiez la croisière 2 avec les leçons apprises.